Hermes
NT
UE
Dans nos vastes cités, par le sort partagés, Sous deux injustes lois les hommes sont rangés: Les uns, princes et grands, d'une avide opulence Étalent sans pudeur la barbare insolence; Les autres, sans pudeur, vils clients de ces gr...
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UE
Dans nos vastes cités, par le sort partagés, Sous deux injustes lois les hommes sont rangés: Les uns, princes et grands, d'une avide opulence Étalent sans pudeur la barbare insolence; Les autres, sans pudeur, vils clients de ces gr...
Le doux sommeil habite où sourit la fortune, Pareil aux faux amis, le malheur l'importune
Il vole se poser, loin des cris de douleurs, Sur des yeux que jamais n'ont altérés les pleurs
J'apprends, pour disputer un prix si glorieux, Le bel art d'Érichthon, mortel prodigieux Qui sur l'herbe glissante, en longs anneaux mobiles, Jadis homme et serpent, traînait ses pieds agiles
Élevé sur un axe, Érichthon le premier Aux liens d...
Pour lui L'ombre du cabinet en délices abonde
S'il fuit les graves riens, noble ennui du beau monde, Ou si, chez la beauté qui l'admit en secret, Las de parler, enfin il demeure muet, Il regagne à grands pas son asile et l'étude: Il y trouve ...
UR
TRÉE
LE
ES
L'art, des transports de l'âme est un faible interprète: L'art ne fait que des vers; le coeur seul est poète
Sous sa fécondité le génie opprimé Ne peut garder l'ouvrage en sa tête formé
Malgré lui, dans lui-même, un vers sûr et fidèle Se...
'Tout est-il prêt
partons
Oui, le mât est dressé; Adieu donc
' Sur les bancs le rameur est placé; La voile, ouverte aux vents, s'enfle et s'agite et flotte; Déjà le gouvernail tourne aux mains du pilote
Salut, divin Triomphe
entre dans nos murailles
Rends-nous ces guerriers
Par le sang de Désille, et par les
Le Brun, qui nous attends aux rives de la Seine, Quand un destin jaloux loin de toi nous enchaîne; Toi,
Brazais, comme moi sur ces bords appelé, Sans qui de l'univers je vivrais exilé; Depuis que de Pandore un regard téméraire Versa sur les h...
Eh bien
je le voulais
J'aurais bien dû me croire
Tant de fois à ses torts je cédai la victoire
Oeta, mont ennobli par cette nuit ardente, Quand l'infidèle époux d'une épouse imprudente Reçut de son amour un présent trop jaloux, Victime du centaure immolé par ses coups; Il brise tes forêts: ta cime épaisse et sombre En un bûcher immense amon...
Pleurez, doux alcyons
ô vous, oiseaux sacrés, Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez
Elle a vécu,
Myrto, la jeune Tarentine