Correspondances Correspondences
La Nature est un temple où de vivants
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de
Qui l'observent avec des regards familiers
La Nature est un temple où de vivants
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de
Qui l'observent avec des regards familiers
Are they blue, gray or green
Mysterious eyes (as if in fact you were looking through a mist) in alternation tender, dreamy, grim to match the shiftless pallor of the sky
That's what you're like- these warm white afternoons which make the...
Pour soulever un poids si lourd,
Sisyphe, il faudrait ton courage
Bien qu'on ait du coeur à l'ouvrage,
L'Art est long et le Temps est court
Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumières,
Qu'un Ange très savant a sans doute
Ils marchent, ces divins frères qui sont mes frères,
Secouant dans mes yeux leurs feux diamantés
Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts
J'entends déjà tomber avec des chocs
Le bois retentissant sur le pavé des cours
Morne esprit, autrefois amoureux de la lutte,
L'Espoir, dont l'éperon attisait ton ardeur,
Ne veut plus t'enfourcher
Couche-toi sans pudeur,
Imaginez Diane en galant équipage,
Parcourant les forêts ou battant les halliers,
Cheveux et gorge au vent, s'enivrant de tapage,
Superbe et défiant les meilleurs cavaliers
At last
I am alone
Nothing can be heard but the rumbling of a few belated and weary cabs
For a few hours at least silence will be ours, if not sleep
Je suis comme le roi d'un pays pluvieux,
Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux,
Qui, de ses précepteurs méprisant les courbettes,
S'ennuie avec ses chiens comme avec d'autres bêtes
In all its raucous
Life writhes, cavorts in pallid light,
With little cause or consequence;
And when, with darkling skies, the
J'implore ta pitié,
Toi, l'unique que j'aime,
Du fond du gouffre obscur où mon coeur est tombé
C'est un univers morne à l'horizon plombé,
Always be drunk
That's it
The great imperative
In order not to feel Time's horrid fardel bruise your shoulders, grinding you into the earth,